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"Dire que la bibliothèque stimule l’imaginaire est une évidence. Même auprès de ceux qui lisent peu, voire pas du tout, la vision du mur de livres, si possible un peu sombres, dans un bâtiment de style ancien, appartient à l’imaginaire collectif, au même titre que le savant à lunettes perdu dans ses pensées ou le collège néo-gothique anglo-saxon, bruissant de fantômes et d’autres puissances occultes.
L’imaginaire de la bibliothèque a longtemps été marqué par ces images d’Épinal, celle d’un lieu fermé (en tout cas peu ouvert), accessible aux seuls initiés – et pour cette raison d’autant plus fascinant, ou objet de méfiance instinctive, selon les cas..."
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